Côte d’Ivoire

Johnny Patcheko, la ministre Nassénéba Touré appelle à une réaction de la justice ivoirienne

Mis à jour le 21 février 2025
Publié le 21/02/2025 à 12:32 , , , ,

Dans un communiqué, la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant a réagi aux récents propos du cyberacticviste Johny Patcheko. En dénonçant ces propos, Nassénéba Touré appelle à une réaction du procureur de la République.

Les propos du cyberactiviste Johnny Patcheko contre la Première Dame Dominique Ouattara ont fait réagir la ministre Nassénéba Touré.

Dans un communiqué, elle dénonce des propos jugés « malveillants, calomnieux et totalement infondés ».

Très actif sur les réseaux sociaux dernièrement, Johnny Patcheko donne des informations vraies selon lui, sur des personnalités ivoiriennes.

Dans l’une de ses dernières publications que dénonce la ministre Nassénéba Touré, le cyberactiviste tient des propos à l’encontre de la Première Dame.

« Ces accusations gratuites, relayées sur les réseaux sociaux, visent non seulement à ternir l’image et l’honorabilité de Madame la Première Dame, mais également à porter atteinte à l’institution qu’elle incarne et aux valeurs qu’elle représente », s’indigne Nassénéba Touré.

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Selon elle, Madame Dominique Ouattara, en tant que Première Dame, incarne les valeurs de solidarité, de respect et de dignité de la Côte d’Ivoire.

« L’insulter ou la calomnier revient à injurier toutes les femmes de Côte d’Ivoire qui méritent respect et considération », fait savoir la ministre de la femme.

« Ces dérives langagières, devenues récurrentes sur les réseaux sociaux, sont inacceptables et ne peuvent être tolérées ni aujourd’hui ni demain », martèle Nassénéba Touré.

Elle estime que « la liberté d’expression ne saurait être un prétexte pour bafouer l’honneur et la dignité d’autrui ».

Aussi demande-elle au Procureur de la République de se saisir de ce dossier.

« Il est impératif que justice soit rendue afin de laver l’honneur de Madame Dominique Ouattara et de préserver la dignité des femmes de notre pays », insiste Nassénéba Touré.

Richard Yasseu

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